Repos artificiel
Ou repos illusoire !
Les vacances ont passé, et plutôt que de les consacrer à l'entretien de ce dépotoir, ce qui aurait été ridicule, j'ai préféré les consacrer à des projets qui ont plus de valeur à mes yeux. Travailler, écrire, préparer des travaux qui ne le sont qu'à moitié ; qui sont toujours en chantier. Ce soir, enfin, je voulais prendre la parole sur un sujet qui avait attiré mon attention, mais je le juge si indigne d'attention que j'ai décidé d'écrire pour préciser que je ne parlerai pas de la communauté qu'on a soupçonnée de menacer le réseau social qui nous est le plus familier. Non, je n'écrirai pas ce mot, précisément parce que je n'ai pas envie d'ajotuer un résultat à la recherche sur Google. Précisément parce que je n'ai pas envie de leur faire de la publicité. Précisément parce que cela aiderait des groupuscules aussi peu louables à survivre.
Remember, remember, the fifth of november...
En vérité, je suis davantage tourmenté par mes caprices artistiques que par l'avenir de Facebook. Pour ceux qui auraient lu mes précédentes interventions, ils noteront que cela fait un temps que j'ai promis de traiter de certains sujets. Seulement, je n'ai pas le temps. Mais, qu'on ne me reproche pas non plus de ne pas avoir le temps mais de le trouver pour rédiger ceci. C'est omettre qu'il est là question d'inspiration, et qu'il serait autrement question de travail ; on ne fait pas une critique sans y réfléchir un minimum, soit-on génie ou mauvais.
Je me suis imposé d'écrire un poème par semaine, que vous ne lirez pas, puisque je les destine à autre chose qu'une vulgaire diffusion virtuelle, mais il m'a semblé important de la préciser pour excuser certaines choses. De plus, je dois travailler en parallèle une nouvelle, dans l'urgence.
Donc, pause.
Je n'ai strictement rien à ajouter.